VOUS AVEZ OUBLIÉ VOS IDENTIFIANTS ?

3° Assises Nationales de la Plaisance et des Pêches de loisirs en mer.

La pêche à pied

C’est quoi ?
  • 1,7 million de pratiquants, plus ceux d’un jour.
  • Un impact socio-économique qui se mesure par le mécontentement les jours d’interdictions sanitaires.
Les enjeux.
Poursuivre sans relâche une information sur les bonnes pratiques (livrets Fédé)
Respectons et faisons respecter les tailles minima.
Suivre l’évolution de la ressource. Nombre d’entre nous est capable de dire qu’avant c’était..... mais qu’avons nous fait depuis.... souvent rien.
Voir le projet LIFE+
 
Les perspectives
Le vivre ensemble.
Il est impératif que la cohabitation avec les conchyliculteurs s’améliore, sauf réglementation, il ne peut y avoir de zones privatisées par une population au détriment d’une autre. A charge pour l’amateur de respecter le travail du professionnel.
La pêche à pied professionnelle doit respecter le droit des amateurs.
Le dragage des pêcheurs professionnels doit respecter la ressource, avec ses périodes de reproduction, ses  zones sanctuaires et ses minimas assurant le renouvellement.
 
La qualité des eaux
Suivre les origines des pollutions. Propres au milieu (algues). Extérieurs au milieu (rejets d’effluents urbains, phosphate et azote agricoles) et agir pour que des mesures efficientes soient prises et réalisées rapidement.
Impact de cette qualité. On mesure chaque année, à l’aune des interdictions de ramassage, les effets désastreux de la dégradation de la qualité des eaux, sur les populations de coquillages filtreurs et par conséquence sur notre loisir.
 
La saturation du milieu
La surpêche (pro et amateurs), le non respect des limites, font qu’aujourd’hui les récoltes sont moins importantes et de moindre qualité. D’où peut être la tolérance morale que s’accorde les ramasseurs sur les mailles.
 
Propositions
  • Sensibilisation des usagers ( guides des Fédé, instrument de mesure, panneau sur l’estran ).
  • Informer les OT sur leur rôle de diffuseur du message relatif à la réglementation.
  • Echanger avec les médecins, afin de prévenir les intoxications alimentaires.
  • Militer pour une réglementation plus lisible.
  • Développer les relations avec l’administration. Ex: un correspondant par ville, avec la Préfecture, pour diffuser les avis et alertes dans le milieu professionn el (tourisme) etc associatif.
  • A moyen ou long terme et avec les municipalités, envisager la création de « Maison de la pêche ».
 
Le délégué de la DIRM précise :
  • La mer et l’estran ont une triple vocation qu’il ne faut jamais oublier.
  • C’est le lieu de diverses activités économiques.
  • C’est un espace de liberté.
  • C’est un espace naturel, qui doit le rester. Par nature il est fragile, et
  • TOUS les usagers doivent oeuvrer pour le préserver.

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